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2023 Année où tout s'emballe et se déballe très trop vite !

L'année ne se sera pas montrée plus douce, mais sans doute parce que j'ai cédé à l'appel des sirènes de la croissance, de l'expansion, du mouvement perpétuel. Cela m'a amené à m'échouer terriblement contre le mur de l'absurdité, de l'agitation désordonnée, d'un cri désespéré à être aimé. 

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Janvier / C'est comme si tout le manque des années COVID, de ma dernière maternité et dépression... avait voulut être rattrappé. On s'engage sur une dizaine de week-end au printemps où on va voir du monde et le monde ! Mon tout juste rétablissement aurait du me mettre une obligation d'aller lentamente. Revenir à la Hauteur doit être bien trop exigeant en moi. 

Février : Je refuse la non-neige, je brûle les économies pour le ski à Flaine. Il y a des renoncements que je ne veux plus à faire. 

Mars /Avril : Je retrouve Paris en solo, c'est un coup de coeur renouvelé, galvanisé. 

Les Descot à la maison. Pâques à Malbrans. 

Les 10 ans de coco à Disneyland paris - un conte de fées sur le quotidien. Des moments partagés adorés à nous 4 (comme avant).  On montera après à Bouvantes le temps que Bertrand s'attaque à la chambre de Chloé (promesses de cadeau des 10 ans). On veut qu'elle soit comblée notre CoCo adoorée. 

Maman a besoin de retrouver une forme de liberté - Ce sera Barcelona avec les filles ! On ne peux plus attendre d'être au complet. 3 jours de folie, de visites, je commence à être hors circuit. 

Mai : Week-end Caius à Dijon le week-end de mon anniversaire. Je serai heureuse de rattrapée un temps loupé par mon arrêt mais triste de pas être fêtée à temps par Bertrand. 

Juin : Fin d'année pour Coco / la fin du primaire ! Ce sera haut en couleurs en en Fluo. Anniversaire - Walibi ! 

Juillet : Les 40 ans de Mark ouvriront sur une semaine de Vacances en Drôme provençale. Je burn-out déjà malgré le cadre si chanceux. 

En août je me plains de tout il n'y a plus rien qui s'allume pour moi, je suis de nouveau hors circuit. 

Septembre: un mois d'arrêt et l'impression que l'histoire se répéte à l'identique. 

En novembre je reprends avec moins d'emballement, je suis le thérapeutique et prends le virage de quitter mon emploi en PJJ. Voilà près de 17 ans que je me suis engagée malgré un nouveau souffle inspirée, le job est comme un carcan oppressant. 

A Noël, c'est l'indigestion professionnelle comme familiale. Il y a écoeurement, besoin de mettre des limites, du répit, arrêt des faux semblants. Je me retrouve à m'engager, porter, là où ceux qui devraient porter se désengage (3ème âge)... les places bougent. 

 

 

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