2024 - l'année de la rédemption

Le couperet est tombé le 20 février, je fais un épisode maniaque entérinant un trouble de l'humeur. 1 mois de clinique pour me retrouver et amorcer un changement de fond, d'un tempérament tempéré. 

 

Février- Mars :

1 mois de solitude, où je me retrouve à peine. J'ai l'impression d'avoir perdu ma place à l'extérieur. Pourtant mon entourage fut très présent comme si j'avais faillit mourir. Je ne peux pas me cacher de ce qui m'est arrivé. 

Un mois de parenthèse, pour atterrir d'une belle envolée. Derrière la fatigue et la fragilité persistent. Troisième crise qui me crie à corps et à cris, d'arrêter ce job à la pjj, peut-être même ce job. On ironisait : on irait vendre des cocktails sur une plage thailandaise ou on ouvrirait une galerie d'art. Il n'y a plus de rêverie pour ma part, plutôt une terrible accroche au réel quitte à me le prendre en plein dans la figure.